Morland: métaux lisses, angles marqués, encoches nettes pour simuler l'usure. Tissus pleins de plis, déchirés, troués, texture usée sur le manteau, mouvements et tombés naturels. Muscles, tendons, et veines définis.
Une bonne sculpture 3D parvient très bien à distinguer tous ces différents matériaux. Une pièce comme ce Morland ça se peint tout seul, un coup de lavis et tout ressort impeccable. La plupart du reste des sculptures PP il faut simuler ces différences en peinture parce que le sculpteur numérique ne va pas bien loin au-delà de surfaces toutes lisses.