Auteur Sujet: Nq 68 Bouche de l'Enfer  (Lu 2561 fois)

0 Membres et 1 Invité sur ce sujet

En ligne elric

  • [BGT] Animateur
  • Brave
  • ********
  • Messages: 1864
    • Voir le profil
Nq 68 Bouche de l'Enfer
« le: 24 avril 2017 à 13:39:35 »
BOUCHE DE L’ENFER

par Lynus Wesselbaum, transcrit par Josh Colón

IMPRESSIONS INITIALES

Ces dernières années, j’ai assisté à de nombreuses choses effroyables au cours de mes expéditions de recherches à propos de nyss et des rejetons draconiques   corrompus. J’ai regardé des nyss corrompus se déplacer avec une grâce quasi surnaturelle alors qu’ils fauchaient les hommes. J’ai regardé comment des rejetons draconiques aux corps à moitié formés surgir de chaudrons remplis de sang pour dévorer les ennemis. Dans ma quête sans fin pour la découverte zoologique , j’ai observé et catalogué ces choses et d’autres encore, mais il existe un organisme biologique unique – j’hésite à utiliser le mot «animal» - qui a continuellement échappé à une étude sur place. Même avec l’activité croissante de cette légion corrompue, les observations de ce prédateur enraciné demeurent presque apocryphes.

J’avoue que ma fascination pour cette créature a frisé l’obsession à la fin, mais c’est peut-être cette persévérance obstinée qui a révélé des indices sur une possible ressource de nouvelles informations. Bien que par le passé je me suis traité de lâche, mon estimé mentor, le Professeur Pendrake, m’a toujours repris avec bonté. Il croit que je possède un «courage académique» essentiel à notre profession de zoologistes extraordinaires, mais je crains que l’ampleur de ce courage ne doive être remis en question avant la fin de cette expédition . . . si ma recherche est exacte, je prévois de retrouver prochainement l’horreur corrompue connue sous le nom de bouche de l’enfer.

ORIGINES OBSCURES: MÉTHODOLOGIE DE RECHERCHE ET RAPPORT AVEC LE MORRDH

«Une recherche correcte, c’est la moitié d’une expédition». Ce sont quelques-unes des premières paroles que Viktor Pendrake m’ait jamais dit, et ce sont des paroles qui sont devenues miennes. Mes premiers indices sur la nature des créatures appelée familièrement bouche de l’enfer sont arrivés via des rapports militaires cygnaréens qui détaillèrent des rencontres avec des nyss corrompus juste après la frontière nord-est. Ces rapports décrivent des tentacules s’élevant de la terre, saisissant des soldats et les tirant dans une grande bouche ouverte semblant crever le sol.

Après des semaines de recoupement, je me suis souvenu avoir lu une série de conférence sur les anciennes créatures moordhiques par le Professeur Cassandra Rovall, une archéologue renommée et une grande spécialiste de l’étude moordhique à la prestigieuse École des Sciences Savantes de Merin [Merin School of Learned Sciences]. Après un échange professionnel, que je pourrais décrire comme une corruption universitaire, le Professeur Rovall a eu la gentillesse de rassembler une grande partie de ses écrits privés et publiés sur les diverses légendes concernant les créatures extraordinaires de l’historique royaume de Morrdh.

Utilisant le travail de Rovall et mes propres sources - un mélange de sources anecdotiques, de fragments de documents historiques et d’écrits bordant la connaissance mythologique – j’ai pu rassembler des récits qui font référence à la créature bouche de l’enfer. Le premier récit de la bouche de l’enfer que j’ai pu trouver détaille des créatures appelées kuriel, des horreurs «rattachées à la terre» avec de grandes tentacules jaillissant comme des chaînes vivantes et enveloppant aussi bien les guerriers et les esclaves. Ces sources également ont décri de «trous profonds remplis de dents tranchantes» situées à proximité des «chaînes vivantes». D’autres écrits décrivent le kuriel comme ayant une peau «plus solide que la meilleure maille forgée». De plus, je suis tombé sur des récits qui font discussion de la gestation du kuriel, affirmant qu’il était «d’abord petit, à peine la taille d’un poing, mais qu’une fois planté dans le sol, il atteindrait une taille gigantesque après deux semaines de nutrition». Plusieurs rapports expliquaient que ces «petits dévoreurs» - probablement une traduction de leur nom – avaient été placés autour de forteresses particulièrement importantes et avaient pour objectif de dissuader d’éventuels intrus. On dit que de grandes demeures moordhique «étaient protégées» par ces créatures enracinées et que tout le paysage était un désert stérile où seules des bouches affamées se développaient.

Une anecdote digne d’être signalée provient d’une antique saga connue sous le nom de «Retour des Héros», qui détaille comment un puissant et gourmand Seigneur de Morrdh a gardé une créature légendaire connue sous le nom de «Mort Salivante». Au fil des décennies, des milliers d’esclaves et d’ennemis indociles au seigneur ont été offerts aux tentacules de la Mort Salivante pour être consommé par la gueule affamée d’en dessous. Bien que ce récit puisse paraître farfelu, je trouve cela beaucoup plus plausible que certains des documents de l’époque identifiants ces créatures en tant que gorgandur juvénile, une autre bête souterraine avec un appétit vorace et des rangées de dents acérées et connu pour atteindre une taille immense. Loin de moi à vouloir manquer de respect aux hommes et aux femmes de savoir de cette période – ils sont les ancêtres de la pensée savante moderne après tout – mais j’estime cette conclusion au mieux douteuse. Même sans tenir compte de la rareté incroyable de ces grandes bêtes, si une fraction des créatures décrites dans les textes anciens étaient en fait gorgandur, les dommages géologiques qui en résultaient auraient mutilé le royaume de Morrdh  des siècles avant sa chute reconnue.

J’ai trouvé amplement de preuves étayant mon hypothèse selon laquelle ces créatures morrdhiques sont plus ou moins liées à la bouche de l’enfer moderne. Mais je devais préciser comment j’ai développé une telle théorie. Comme je l’ai précédemment indiqué, la plupart de mes sources sont embrouillées par l’inaccessible histoire et connaissance de l’antique Morrdh; cependant, de nombreux obscurs documents font référence à un «Grand Emissaire» ayant originellement offert les mâchoires tentaculaires à quelques seigneurs de Morrdh en échange «de service et d’une alliance». Je crois que certaines descriptions physiques de cet émissaire (peau écaillée, protubérance de crêtes semblable à des os) sont compatibles avec une créature affectée par une exposition prolongée à la corruption draconique. En outre, les descriptions physiques et le comportement du kuriel que j’ai cité présentent une ressemblance frappante avec les bouches de l’enfer actuelles. J’avoue que je pourrais parvenir à cette conclusion, mais j’estime qu’il y a suffisamment de preuves convaincantes pour justifier un examen sur le lien possible entre Morrdh et les bouches de l’enfer. Peut-être que je partagerai mes découvertes avec le Professeur Rovall afin de réduire ma dette future envers elle.

OBSERVATIONS SUR LE TERRAIN: VRILLES DE LA MORT

Juste au moment où j’avais épuisé toutes les pistes de recherches, la fortune m’a souri; j’ai reçu de multiples rumeurs d’observations de la légion par des forces cygnaréennes à quelques jours au nord-est de Corvis. Le Professeur Pendrake a eu la gentillesse de me mettre en contact avec un vieil ami à lui mercenaire qui était sous contrat pour patrouiller dans cette région: le Capitaine Armand Dukain. C’était un homme calme mais affable qui menait une force respectable de ses hallebardiers et fusiliers Tête d’Acier lors de récentes escarmouches contre des nyss corrompus dans la région, et je dois avouer que j’ai été réconforté par le leadership compétent du capitaine tout au long de l’expédition. Au cours de notre marche de plusieurs jours dans la région, Edra et moi avons fait connaissance avec deux Têtes d’Acier, nommés Leighton et Harks. Alors qu’ils étaient tout deux de bonne compagnie, pour des mercenaires, j’ai eu l’impression que Harks souffrait d’une malencontreuse légère toquade pour ma collègue iosienne.

Après avoir passé du temps à interroger tout le monde sur sa rencontre avec la légion corrompue, j’ai déterminé que Leighton fournissait le récit le plus digne d’attention. Selon lui, avant notre arrivée, la force avait rencontré une petite colonie récemment détruite par une attaque. Aucun corps n’avait été retrouvé dans les bâtiments saccagés, mais la terre avait été déplacée avec des dizaines de trous et de cratères tout autour. Finalement, nous avons découvert un unique survivant, un homme nommé Mckee, affirmant qu’une paire d’êtres horribles avaient causé la majorité des destructions. Il a décrit des bouches à moitié enterrées et d’énormes tentacules jaillissant de la terre pour dévorer les habitants de la ville, une attaque dont il a réchappé en se dissimulant dans un chariot de navet. Il a raconté être paralysé par la peur alors qu’un des tentacules sondait autour du chariot, comme s’il le cherchait, quand un cheval terrifié est passé par là et fut saisi à la place. Mckee a juré qu’elles s’y trouvaient toujours et que c’était le cheval au galop qui l’avait sauvé. Après un jour et une nuit, les créatures se sont enfoncées dans la terre, se retirant apparemment pour dormir. Mckee a déclaré que les créatures étaient encore sous la ville – il a exhorté nos compagnons mercenaires à fuir, mais après une recherche approfondie de la région, nous n’avons rien découvert. Son histoire, bien apparemment fantastique, a fourni d’autres indice quant à la nature de cette insaisissable bouche de l’enfer. Pourraient-ils être sensibles aux vibrations? J’ai passé les jours suivants à avancer d’un pas léger, au cas où.

L’après midi du onzième jour de notre patrouille, quelques fusiliers en éclaireurs ont trouvé des traces inhumaines que seule une importante force aurait pu faire. Après moins d’une heure d’une marche prudente, il est apparu clairement que nous étions tombés dans une embuscade, car une multitude de flèches et de grands javelots étaient lancés depuis l’orée proche. Nous étions assaillis par un certain nombre de nyss et d’ogrun corrompus. Notre groupe a rapidement répondu, et pendant un moment, il semblait que nous avions le dessus, mais la terre a tremblé et s’est fendu, alors que des tentacules massives surgissaient d’en dessous pour envelopper un groupe de soldats malchanceux.

Les minutes suivantes se sont déroulées dans une lenteur presque exagérée alors que les formations ordonnées et les lignes de feu des Têtes d’Acier ont été projetées dans le chaos par une masse de tentacules incroyablement rapides, levant les soldats malchanceux dans l’air. J’ai pu suivre l’un des appendices corrompus alors qu’il traînait un hallebardier – je crois que c’était Leighton – en terrain découvert juste quand une gueule monstrueuse a fait éruption du sol et consommé le pauvre gars alors que je tailladais le tentacule avec ma grande épée. L’horreur de la scène a faillit me dépasser, mais comme d’habitude, c’est Edrae qui a réussi à m’endurcir. Avec ma compagne iosienne lançant des explosions mystiques sur les guerriers corrompus et l’horreur souterraine, la partie analytique de mon esprit est entré en action. J’ai observé les attaque d’une bouche de l’enfer, un tourbillon d’actions apparemment chaotiques, jusqu’à ce qu’un schéma apparaisse. C’était avec un élan d’horreur que j’ai compris que la créature manifestait une ruse froide et instinctive.

Il était devenu évident que la bouche de l’enfer a effectivement détecté les potentielles cibles par l’entremise des vibrations, car aucun organe sensoriel primaire. La créature donnait la priorité aux Têtes d’Acier se déplaçant ou hurlant sur ceux qui se déplaçaient silencieusement. Qui plus est, la vitesse et la grâce étrangère de ces appendices géants était vraiment quelque chose dont on doit être témoin; non seulement, elles réussissaient à esquiver le coup occasionnel d’un hallebardier adroit, mais elles choisissaient également des angles d’attaques particuliers, souvent attirant les défenseurs par derrières avant de les traîner vers la mort. Nous semblions perpétuellement flanqués par l’anatomie bizarre de cette créature.

Pourtant, c’est la peau de la bouche de l’enfer qui a été le plus grand défi; épée, fusil, et explosion mystique ne lui occasionnait que quelques dégâts superficiels. C’est la coordination des Têtes d’Acier qui a commencé à renverser la vapeur, car les fusiliers et les hallebardiers se coordonnant sur un seul tentacule. Lorsque nous avons finalement réussi à abattre les appendices, ce fut uniquement un répit de court durée. Plus de vrilles ont jailli de la terre à la place des blessées, suggérant que la bête possédait des capacités de régénération. Pourtant nous avons persévéré, et vers la fin de la bataille, j’ai été extirpé de ma torpeur analytique lorsque j’ai constaté qu’un tentacule était sur le point de s’enrouler autour du coup d’Edrea.

Avant que je ne puisse agir, Harks a poussé Edrea et a été rapidement enveloppé et englouti par la gueule caverneuse de la gueule de l’enfer. Nous avons continué à lutter, et alors qu’il semblait que l’effroyable carnage ne finirait jamais, le Capitaine Dukain a mené une dernière offensive avec les Têtes d’Acier restant, faisant en sorte que les forces survivantes de la Légion se retirent. La victoire avait exigé un prix sanglant: plus de la moitié de notre force avait été tuée, la plupart consommée par l’horreur souterraine. Comme Edrea, les mercenaires survivants, et moi-même avons saisi les conséquences dévastatrices de la bataille autour de nous, j’aurais pu dire qu’ils avaient tous la même question en tête . . . À quel point sommes nous en sûreté lorsque la terre sous nos pieds pourrait crever pour nous consommer?

CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES ET EXAMENS ANATOMIQUES

Tandis que les forces mercenaires survivantes faisaient l’état des pertes et soignaient les blessés, j’ai profité de l’opportunité pour aborder le Capitaine Dukain sur la possibilité de solliciter quelques-uns de ses hommes. Je voulais déterrer le cadavre de la bouche de l’enfer pour l’observer et l’analyser autant que possible. Le bon capitaine s’est hérissé à la suggestion, car ses soldats avaient des tâches cruciales à accomplir. Je savais que Dukain avait raison, et j’ai sympathisé avec des soldats qui voudraient, rien de moins, que se risquer à déterrer une créature qui venait de manger plus d’une douzaine de leurs camarades, mais je savais que c’était ma seule chance de l’observer de près. J’avais le devoir scientifique de faire tout ce qu’il faillait pour étudier cette créature.

Je suis finalement parvenu à convaincre le capitaine avec l’argument selon lequel l’étude de ce monstre fournirait de précieuses informations sur les meilleurs moyens de le vaincre et peut-être même de se protéger à l’avenir. Dukain a proposé les conditions suivantes: Je devrais payer quiconque s’étant porté volontaire de ma propre bourse pour l’effort supplémentaire et nous n’aurions que trois heures en tout. Ne voyant aucune autre possibilité, j’ai accepté et j’ai été remercié pour mes efforts par l’étude fascinante d’une créature extraordinaire. Voici mes notes très abrégées réalisées durant mon analyse. (Des observations plus complètes peuvent être trouvées dans le journal dicté d’Edrea.)

Physiologie: La majeure partie de l’anatomie de la bouche de l’enfer est cachée dans le sol. Comme les Têtes d’Acier volontaires ne sont parvenus qu’à creuser environ cinq pieds [1,524 m] de profondeur autour de la créature, il est difficile de déterminer même une taille approximative, mais je gage n’avoir vu que la moitié de l’ensemble son corps. Par conséquence, je situerai sa longueur totale entre dix et 15 pieds [3,048 m et 4,572 m]. Son corps présente une similitude fugace avec les plates-formes flottantes monstrueuses que j’ai précédemment connu sous le nom de Trônes d’Everblight [Thrones of Everblight]. Sa peau cuirassée est extrêmement résistance et dense, capable de résister à la pression de la terre sur de longue périodes de temps. Des plaques chitineuses protègent la bouche et une partie du haut du corps, peut-être la partie qui perce la surface, mais par la suite, ces plaques cèdent la place à la chair nue. Une série de dents méchamment tranchantes et pointues entoure la bouche et se développe également à l’intérieur de la cavité buccale principale. Un grand tentacule central se déploie de la bouche et semble faire office de langue pour la créature.

Locomotion: Bien qu’il semble immobile – probablement enraciné par un réseau de fins tentacules le long des surfaces ventrales et dorsales enterrées – la créature semble capable de se mouvoir. En théorie les soies le long de la chair nue du bas de son corps, avec un étirement et une flexion extrêmement musclés, pourraient lui permettre de se tracter et de bouger sous terre. Peut-être que cette méthode de locomotion est utilisée sous sa forme juvénile de la créature?

Tentacules: d’environ 12 pieds de long avec une force incroyable, les tentacules de la gueule d’enfer semblent être les principales armes et la principale source de donnée sensoriel. Extrêmement musclée, ces tentacules sont tapissés de ventouses tranchantes et pointues le long de leur surface ventrale, qui, avec un ensemble de plaque chitineuse le long du dos et à l’extrémité de l’appendice, aident à saisir et attirer les proies par une combinaison de contractions des muscles et d’adhérence. J’ai également découvert des preuves soutenant la théorie selon laquelle la créature possède des capacités de régénération, car le spécimen observé semblait être en train de développer de nouvelles vrilles pour remplacer celles perdues avant sa mort.

Entrée sensorielle: Entre chaque rangée de plaque protégeant le corps principal de la créature, il existe de petits mais incroyablement sophistiqués organes sensoriels. Ces organes étaient également sous les soies situées sur les zones de chair nues et à l’intérieur des tentacules. Lors de la dissection, j’ai remarqué que certaines de ces sacs, semblables à des glandes, étaient extraordinairement sensibles aux vibrations. J’estime que l’énergie corrompue est utilisée pour amplifier les sens de ses organes.

RÉFLEXIONS FINALES

Après mon retour à l’Université de Corvis [Corvis University], relativement indemne, j’ai eu la chance de méditer sur mes expériences et mes observations de la gueule de l’enfer corrompue. Alors que j’examinais mes résultats et continuait d’analyser les différents échantillons que j’avais réussi à emporter avec moi, je suis de plus en plus perturbé par chaque découverte mineure de la physiologie de cette créature. J’ai examiné de nombreuses créatures draconiques et corrompues au cours de ma carrière, mais la plupart des cas, leurs attributs apparaissaient aléatoires, semblables à une mutation.

Alors que les Nyss corrompus continuent de se propager dans les Royaumes d’Acier, je crois que ces bouches de l’enfer ne seront plus étrangères à nos champs de batailles. Alors que je poursuivrai mes recherches et essayerai de trouver une quelconque faiblesse ou une approche pour vaincre ces créatures, je crains pour la vie des soldats sans méfiance qui se retrouveraient poussés par d’horribles tentacules dans une gueule affamée crevant la surface. Pour l’instant, je ferai tout ce que je peux pour en apprendre plus. Peut-être devrais-je présenter ma recherche sur la gueule d’enfer pour une potentielle publication dans le cas où les réflexions du Professeur Pendrake concernant l’écriture d’un nouveau volume de son Monsternomicon porteraient ses fruits. Si nous continuons d’accumuler des connaissances sur cette terrible menace, nous pourrions éviter d’être consommés par cette menace corrompue.

Citation de: Maître Yoda
Trop gentil tu seras, dans le côté obscur tu l'auras.

Si vous constatez des fautes d'orthographe et/ou de conjugaison, des phrases à remanier pour une meilleur compréhension.
Hop, -> Mp  ;)

En ligne elric

  • [BGT] Animateur
  • Brave
  • ********
  • Messages: 1864
    • Voir le profil
Re : Nq 68 Bouche de l'Enfer
« Réponse #1 le: 24 avril 2017 à 13:41:51 »
Texte en entier
Merci à Cyriss-adept pour son l'aide et à Lysander53 pour la relecture.

Bonne lecture  :)
Citation de: Maître Yoda
Trop gentil tu seras, dans le côté obscur tu l'auras.

Si vous constatez des fautes d'orthographe et/ou de conjugaison, des phrases à remanier pour une meilleur compréhension.
Hop, -> Mp  ;)