Merci pour le taf Titi ! Ca fait toujours du bien un peu de fluff !
- Après, pour le
1er texte, j'enlèverais le verbe "cicatriser" pour le remplacer par "marquer". C'est plus dans l'idée d'une marque indélébile que dans l'idée d'une guérison que suppose la cicatrisation, je trouve :
Dont peu incluent la survie de notre monde et aucun qui n'échappe au carnage et à la misère qui le marqueront à jamais.
- Dans le
2e texte, enlever "depuis" et laisser "avant", ça suffit je pense. Avant est déjà une indication de temps :
un jour pour lequel Ashlynn avait prié avant l'invasion de Khador
Je n'ai pas le texte en anglais mais je ferais une correction de grammaire et de sens :
Et pour chaque âme qu'elle a sauvé, dix étaient dérobées malgré sa vigilance.
- Dans le texte de
Calandra, je tournerais la fin de phrase ainsi, je trouve que ça serait plus léger :
Dhunia elle-même se tordit sous leur toucher, blessée plus profondément encore que par les mâchoires du Ver.
Je ne comprends pas trop ce qu'est le "noeud de sa fille" ? Sa garde rapprochée, une sororité ?
Les autres membres du nœud de sa fille ont fait un bruit d’accord, louant sa perspicacité.
- Dans le 1er texte d'
Irusk, enlever Irusk puisque c'est lui qui se pose la question, je pense :
il se demandait si l'âme de Strakhov était plus sûre que la sienne d'Irusk, enfermée dans...
- Dans le texte de Julius, mettre "sur" à la place de "de" :
Julius regarda vers le nord, imaginant le drapeau de Llael flottant sur chaque rempart.
Et :
« Pensez-vous que Kaetlyn soit en sécurité ? »
- Texte de
Gunnbjorn :
Je mettrais "souillés" ou "barbouillés", "salis" plutôt que "foulés" : "Salis par la suie et fatigués de la marche,"
- Texte du
Ermite du 1er janvier à 15h58m39 :
Je suppose que c'est la guerre qui renvoie son angoisse ? Donc ça serait "elle" :
La guerre est une chose injuste. Souvent, elle renvoie son angoisse à ceux qui ont déjà souffert de sa piqûre.
Et :
Ainsi en était-il du Llael, qui goûtait à peine la douceur de la liberté
- Texte d'
Ashlynn du 2 janvier à 13h52 :
La réponse d'Ashlynn fut couverte par les notes cuivrées des trompettes qui s'élevaient au-delà des murs.
Elle grogna : « Cela ne sera pas. Pas tant que je respire. »
Les trompettes se turent brusquement.
- Texte d'Aurora et Nemo :
lui ou me :
« Tu lui ressembles tellement »