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Requiem - Classes et sous classes

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elric:
OPTIONS DE SOUS-CLASSE

Sept classes reçoivent des options de sous-classe dans cette section : le Barde, le Guerrier, le Moine, le Paladin, le Prêtre, le Rôdeur et le Roublard.

BARDE

Les bardes sont rares au sein de l’Immoren occidental, avec seulement quelques individus qui choisissent de faire la chronique des sagas des compagnies d’aventuriers et d’insuffler force et courage à leurs camarades. Les bardes humains sont généralement apprentis auprès d’autres bardes de leur espèce et peuvent jouer des rôles de chroniqueurs, de conteurs et de chanteurs. Une inhabituelle tradition trollkin, celle du hurlemort, est beaucoup plus courante.

HURLEMORT

Les hurlemorts combinent de terrifiants hurlements avec une respectable capacité de combat. Ce sont d’intrépides guerriers pleins de passions, de charisme et, souvent, de rage. Les Hurlemorts sont nés avec leur don et la plupart ont du mal à ne pas répondre à l’appel. Avec leurs incroyables voix, les hurlemorts anéantissent leurs adversaires, stimulent le courage de leurs camarades, désorientent leurs ennemis, déclenchent des explosions sonores destructrices et font même trembler le sol. Tous ces cris sont des effets vocaux et sont essentiellement criés ; en effet, l’attribut le plus notable de presque tous les hurlemorts est leur voix profonde et tonitruante.

   Tous les hurlemorts au sein des Royaumes d’Acier sont des trollkin. Ils sont les descendants de l’antique héros trollkin Bragg, le premier de tous les hurlemorts, et il est un personnage central de nombreux chants et contes trollkin. Bien que les trollkin aient parfois la réputation d’être une race impassible, Bragg incarnait le tempérament fougueux et la ferveur communicative qui habitent le sang trollkin.

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GUERRIER

Les guerriers sont omniprésents dans les Royaumes d’Acier. Ils sont les principaux combattants, formant l’épine dorsale des armées des royaumes et comptent de nombreux tueurs à gages et bandits.

AUMÔNIER GUERROYEUR

Les aumôniers guerroyeurs sont en premier des guerriers et ensuite des prêtres. Ils préservent les âmes des fidèles, perturbent la magie ennemie et, dans la pire des cas, donnent les derniers sacrements pour que les morts ne soient pas soumis à une éternité de tourments. Ces guerriers-prêtres partent au combat et jurent de préserver les âmes et les corps de leurs camarades des griffes des horreurs infernales, accordant aux blessés un sursis contre la douleur et chassant les malfaisants du monde.

CHEVALIER-TEMPÊTE

La plupart des Chevaliers-Tempêtes servent la nation de Cygnar en tant que soldats d’élite, même si certains ont trahis leurs serments à la Couronne et sont devenus des voyous ou se sont complètement retirés de l’ordre afin de poursuivre leurs propres intérêts. Ces guerriers combinent d’antiques traditions de combat avec des armes mékaniques de pointe, illuminant le champ de bataille avec des arcs électriques provenant de leurs sans pareil. En plus de maîtriser de plusieurs techniques de combat, les Chevaliers-Tempêtes sont formés au commandement sur le champ de bataille et à l’étiquette attendue d’un chevalier.

HOMME D’ARMES

Les hommes d’armes sont des guerriers hautement qualifiés se concentrant principalement sur la défense, mais sont également capables de déclencher une dévastatrice offensive. Nombres d’entre eux trouvent un emploi comme gardiens de prison, veilleur de ville ou gardes du corps pour les aristocrates, et ils défendent leurs postes et leurs charges avec force et acier. Ils sont habitués à se battre avec une grande variété d’armes mais préfère les armes de mêlée avec une portée considérable et une grande puissance de broyage ou de tranchage.

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MOINE

Les moines sont peu nombreux dans les Royaumes d’Acier, mais ils existent et appartiennent principalement aux ordres religieux humains. L’Ordre du Poing existe au sein du Temple de Menoth. Également connu sous le nom de Poing de Menoth, ces moines servent de force de police secrète du Temple, capables de se déplacer parmi la population sans avoir besoin d’armes évidentes. Bien qu’il ne s’agisse pas d’un ordre organisé, mais plutôt d’une voie suivie par certains adorateurs de Thamar, le Voie de la Duperie est constituée de silhouettes manipulant l’esprit de ceux qui s’opposent à leurs objectifs personnels.

TRADITIONS MONASTIQUES

VOIE DE LA DUPERIE

Les moins se consacrant à la Voie de la Duperie excellent à manipuler les autres par des moyens mystiques pour faire avancer leurs propres objectifs ou les objectifs de leur ordre. Ces guerriers sont capables de duper l’oeil mentale pour voir les émotions des autres, piller leurs souvenirs et dicter leur état mental. Leur mélange unique d’arts martiaux et de manipulation psychique font de ces moines d’excellents espions tout à fait capables de s’infiltrer dans les cercles intérieurs des organisations les plus paranoïaques et de s’enfuir avec leurs plus importants secrets.

   Quelques rares adeptes de Thamar ont suivi la sombre déesse et transcendé leur mortalité. Ces parangons thamarites sont connus sous le nom de Légataires. Chacun à sa propre philosophie et sa propre sphère d’influences, mais tous les légataires veillent sur leurs disciples et leur accordent des bienfaits contre nature. Il n’est pas rare que les guerriers martiaux les plus disciplinés, qu’ils soient dévoués à Thamar ou à l’un de ses légataires, commencent à s’entraîner à la Voie de la Duperie. Ceux qui suivent le Légataire Drayce, un gentilhomme voleur de son vivant a transcendé pour devenir le protecteur des roublards et des politiciens corrompus, sont les praticiens les plus courants de cet art sombre.

VOIE DU POING

Aucun guerrier n’a l’air plus humble au repos – ou n’est plus dévastateur en action – qu’un moine dédié à la Voie du Poing. Ce style de combat unique a été créé par le tristement célèbre Garrick Voyle, ancien hiérarque du Protectorat de Menoth. Voyle a décodé les secrets perdus des antiques prêtres-rois et de leurs gardiens et les a associés aux compétences martiales du peuple idrien pour créer des techniques unissant un corps mortel à l’éternelle volonté de Menoth.

   Pratiqué principalement par les Allégeants de l’Ordre du Poing au sein du Protectorat, cet art martial fusionne la foi avec une discipline inébranlable et une maîtrise absolue de soi. Dédaignants les armes ne portant que peu ou pas d’armures, les allégeants sont des pugilistes expérimentés pouvant sans effort éviter des tirs de fusil, dévier les lames ennemies et contre-attaquer les ennemis avec une rafale de coup de pieds et de poings.

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PALADIN

Les saints guerriers sont communs aux croyances de Menoth et de Morrow. Les chevaliers morrowéens protègent la sainte cité du Sancteum à Caspia et agissent comme poing armé de l’Église de Morrow contre les morts-vivants, les infernaux et autres aberrations. L’ordre du Mur est un antique ordre menite protégeant les membres des ouailles de Menoth. Ils croient que même les rebelles peuvent être guidés vers la voie du Créateur, une philosophie pour laquelle ils sont aimés par le peuple qui voit les paladins comme de véritables héros.

SERMENT DU RAYON

Les paladins se consacrant au Serment du Rayon sont de brillantes lueurs d’espoir ayant juré de tenir les ténèbres à distance. Ils valorisent la paix, mais savent pertinemment que certains conflits ne peuvent être résolus que par une effusion de sang. Suivant un code strict de conduite honorable sur le champ de bataille, ces paladins sont convaincus que la guerre n’excuse pas la dépravation et que la victoire n’excuse pas l’immoralité. Assurer l’enterrement correct des morts fait partie de leurs devoirs sacrés, et ils prennent autant soin des cadavres de leurs camarades que ceux de leurs ennemis.

   Les morts-vivants sont un affront à tous ces champions bénis, et ils e reculeront devant rien pour apporter le reps éternel aux morts-vivants et autres inquiétants esprits.

   Les plus célèbres de ces types de paladins sont peut-être les Chevaliers Précurseurs de Cygnar, suivant les vertus enseignées le dieu guerrier-philosophe Morrow et ses ascendants martiaux. Bien que Morrow soit vénéré dans l’intégralité de l’Immoren occidental, les Précurseurs sont ordre distinctement cygnaréen. Initialement sanctifiés dans les lieux sacrés de la Cathédrale de l’Archicour de Caspia, ils occupent un certain nombre de monastères forteresses éloignées dans tout le royaume.

SERMENT DU MUR

Les paladins qui prêtent le Serment du Mur sont de fervents défenseurs des masses fidèles. Ils privilégient la miséricorde et la protection des innocents et sont capables de devenir des incarnations physiques de la volonté de leur dieu afin de protéger leurs ouailles. Revêtus d’une lourde armure et entraînés à tenir tête à n’importe quel ennemi, ces guerriers saints ont fait de leurs corps une arme vivante incassable au cours d’années d’intense entraînement.

   L’organisation la plus connue de paladins ayant prêté ce serment est l’Ordre du Mur au sein du Protectorat de Menoth. Cet ordre a servi l’humanité depuis que les premiers mots du Canon de la Vraie Loi ont été révélés. Leur dévouement au peuple du Protectorat les place souvent en désaccord avec les impitoyables scrutateurs, qui préfèrent pénaliser par la torture et la mort plutôt que de les guider vers la voie du Créateur.

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PRÊTRE

Les prêtres des Royaumes d’Acier ont été parmi les premiers humains à employer la magie, qui leur a été accordée par des moyens divins. Les prêtres vont d’humbles clercs aux prêtres militants, éradiquant les hérétiques par le feu et l’acier.

   Les dieux Morrow et Menoth font l’objet de la plupart des cultes dans les Royaumes d’Acier, et les religions d’état des nations telles que le Cygnar et le Khador sont centrées sur la vénération de l’une ou des deux divinités, bien que Thamar ait toujours eu des fidèles. Les ordres sacerdotaux des Royaumes d’Acier vont des organisations militantes, telles que les aumôniers guerroyeurs de Morrow et les diverses traditions martiales du Protectorat de Menoth, à celles axées sur la guérison des maladies et la diffusion de la foi aux non-croyants.

DOMAINES DIVINS

DOMAINE DIVIN : BIENFAIT

Morrow met l’accent sur la poursuite du plus grand bien, et ses disciples croient que vivre une bonne vie exige plus qu’une obéissance aveugle à la Vraie Loi, mais qu’il faut aussi faire preuve de bienveillance, de miséricorde, de compassion et d’abnégation. L’Église de Morrow, bien qu’unifiée, accorde une grande importance au choix et à l’interprétation. Les adorateurs de Morrow cherchent à se libérer des liens et des limites de ce monde et à libérer l’esprit, les corps et l’âme.

   Œuvrant à l’échelle internationale, l’Église de Morrow plaide pour la paix. Malgré son caractère pacifique, elle reconnaît cependant que la guerre est parfois nécessaire et que tous les différends ne peuvent être réglés avec des paroles. En temps de guerre, les principales préoccupations de l’Église sont que les batailles soient menées de manière honorable, que les blessés soient correctement soignés et que les derniers droits soient accordés aux morts. Les serviteurs divins de Morrow, les ascendants, font partie intégrante du culte, et ils servent de source d’espoir et d’inspirations à tous les morrowéens. La plupart des fidèles prient également un ascendant protecteur dont les enseignements correspondent le mieux à leurs propres croyances ou à leur mode de vie.

S’efforçant d’imiter l’exemple d’abnégation et de miséricorde de Morrow, de nombreux prêtres de Morrow font preuve de charité envers les personnes dans le besoin et aident à protéger leurs fidèles contre les menaces infernales et autres dangers pour le corps et l’âme. Les fidèles de Morrow entretiennent une relation complexe avec les adorateurs de la sombre jumelle du dieu, Thamar, en raison de la nature opposée et pourtant entrelacée des deux divinités. Bien que les morrowéens et les thamarites œuvrent ensemble pour combattre l’influence corruptrice d’étrangers tels que les infernaux, les alliances qu’ils forgent sont toujours délicates.

DOMAINE DIVIN : FOURBERIE

Thamar, la sombre jumelle, prétend vouloir libérer les esprits et les libérer des chaînes de la moralité, et ses prêtres suivent ce credo avec acharnement. Nombre d’entre eux trouvent leur place dans le monde criminel, mais même ceux qui sont payés généreusement pour leurs services gagnent de l’argent en plus en proposant d’éliminer – ou d’accorder malédictions et maladies.

Dans l’ensemble, les prêtres de Thamar sont très individualistes. Il n’existe pas d’église unique ayant autorité sur les adorateurs de la Sombre Jumelle, et il est rare que deux septums partagent les mêmes objectifs. Les adeptes de Thamar recherchent le profit, le plaisir et le pouvoir, et ils ne voient rien de mal à traiter avec les infernaux ou à employer la nécromancie – à condition que le thamarite soit le premier bénéficiaire d’un tel échange, bien sûr.

   Rusés et astucieux, les prêtres de Thamar utilisent souvent d’involontaires complices pour accomplir leurs projets. Thamar préconise l’utilisation de tous les raccourcis vers le pouvoir ; ua yeux de la Sombre Jumelle, la trahison, le meurtre, la tromperie et la traîtrise sont tous des instruments. La voie de l’ascension – qui selon les enseignements de Thamar, implique de s’affranchir totalement de la moralité conventionnelle – est essentielle pour les thamarites, bien que beaucoup soient trop distraits par la soif de pouvoir pour demeurer longtemps sur cette voie.

   Malgré la méfiance générale qu’ils inspirent aux non-thamarites, tous ceux qui vénèrent Thamar ne sont pas mauvais ou diaboliques. Pendant la Revendication, les adeptes de la Sombre Jumelle se sont alliés à leurs homologues morrowéens afin de s’opposer aux envahisseurs infernaux, bien que ces alliances aient toujours été destinées à être ténues et de courte durée. En l’absence de menace mutuelle depuis la Bataille de Fort Henge, de nombreux thamarites sont retournées à leurs anciennes habitudes secrètes.

   Comme d’autres entités préférant la fourberie à l’obéissance, Thamar a de nombreux adorateurs qui se situent à cheval entre le criminel et le prêtre. Ces dévots sont rarement intéressés par la guérison des malades et des blessés ; au contraire, ils utilisent la magie divine dans le but d’acquérir un pouvoir accru et de punir ceux qui se dresseraient sur leur chemin.

DOMAINE DIVIN : OBÉISSANCE

On pourrait penser que la peur est la pierre angulaire de l’adoration de Menoth, mais la plupart des menites restent fidèle parce qu’ils croient aux vœux et aux règles établis par le Canon de la Vraie Loi. La force de leur foi est évidente dans chacun de leurs actes et dans leur adhésion à un ensemble strict de directives et de commandements que tout adorateur sérieux doit connaître par coeur.

   Les prêtres du Législateur puisent leur pouvoir non pas des fonts baptismaux et signes, mais de la prédiction aux ouailles et du maintien de leurs vœux. Apprendre aux fidèles à maintenir l’ordre et à suivre les préceptes du canon leur inculque un sens de la discipline ; respecter les lois de Menoth permet de conserver le corps et l’esprit purs. Extérieurement, les prêtres de Menoth sont des individus sévères, maîtrisés et disciplinés, avec l’allure d’un soldat et la sagesse d’un chef exigeant.

   Les vœux d’un prêtre menite suivent les préceptes de justice, de pénitence, d’obéissance, de pureté et de colère. Pour un prêtre de Menoth, ces vœux sont aussi sacrés que la prière, et ils exigent que le prêtre fasse des rites et des dévotions spéciales en signe d’obéissance et d’empressement de promouvoir la volonté du Législateur. La vie est emplie de luttes, de douleur et de labeur – comme il se doit – et le maintien de ses vœux exige une lutte constante, même pour les plus dévots. Qu’il s’agisse de rendre une justice sévère de Menoth, d’expier ses propres défauts par des actes de pénitence, d’afficher son obéissance absolue à Menoth et à ses supérieurs du clergé, de s’abstenir de manger ou de boire sans bénédiction, ou d’infliger la divine colère aux briseurs de serments, et aux prêtres infidèles, maintiennent leurs vœux avec une discipline militante.

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