ROYAUMES D’ACIER > Iron Kingdoms - RPG
Requiem - Monsternomicon
elric:
SUBJUGUEUR CEPHALYX
Ces abominables créatures sont le sous-produit d’une longue et approfondie manipulation par les façonneurs de chair cephalyx. Bien que passablement similaires à un asservi, elles sont beaucoup plus dangereuses.
– Viktor Pendrake
Ces gigantesques et peu connues créations des cephalyx sont mal comprises par les habitants de l’Immoren occidental, qui ont pris l’habitude de simplement les appeler « monstruosités ». Issus des victimes les plus fortes physiquement et réduites en esclavage par les cephalyx, les monstruosités sont une variété lourdement augmentée d’asservis. Ceux qui sont sélectionnés pour la transformation subissent de cruels traitements alchimiques les obligeant à grandir rapidement pour atteindre une taille effrayante. Une fois améliorés, les esclaves subissent d’importantes modifications chirurgicales et mékaniques les transformant en monstruosités. Pour les cephalyx, chaque monstruosité est un incroyable investissement en temps et en ressources.
Une fois le sujet correctement préparé, les chirurgiens cephalyx assemblent la chair et les machines pour créer une forme qui leur plaît. Au fur et à mesure que la monstruosité prend forme, son corps est renforcé par un imposant treillis de laiton et de fer, puis submergé de nombreux fluides alchimiques qui accroissent encore sa masse musculaire et stimulent le processus de guérison. Lorsque l’œuvre est achevée, la chair de la monstruosité est tendue au niveau des coutures de son corps, plissée et cicatrisée autour des dispositifs métalliques dépassant de sa chair, et son système nerveux est torturé par d’incessantes et puissantes poussées d’adrénaline et d’endorphines.
Comme un asservi ordinaire, une monstruosité n’agit que selon les ordres mentaux d’un maître cephalyx. La chirurgie effectuée sur l’esprit de la créature la rend incroyablement agressive même lorsqu’elle échappe au contrôle direct d’un cephalyx. Seuls les cephalyx vraiment puissant connus sous le nom d’exulons sont capables de traverser ce nuage de rage et de violence et d’imposer leur volonté à une monstruosité, la forçant à agir selon leurs caprices.
elric:
VIELLEUR CE PHALYX
Lorsque nous avons besoin d’un garde du corps, la plupart d’entre nous cherchent à engager le combattant le plus fort et le plus loyal que l’on puisse trouver. Le cephalyx ignore ces subtilités et crée simplement le sien. J’ai souvent remarqué à quel point ils ont réussi à protéger leurs corps vulnérables.
– VP
Conçu pour réagir rapidement à toute attaque et habitué aux blessures même invalidantes, un vielleur se met instinctivement en danger pour protéger ses créateurs. Ses muscles en acier trempés peuvent encaisser les tirs de balles et de canon, et ses plaques d’armures trempées peuvent résister aux poings d’un warjack.
Les actions défensives d’un vielleur sont le pur produit d’une insidieuse manipulation biologique. Les cephalyx reconfigure avec art l’architecture de l’esprit d’un vielleur, recâblant les réflexes de la monstruosité. Les réponses autonomes qui aidaient autrefois le sujet à éviter la douleur l’obligent à se jeter sur la trajectoire des attaques destinées à un cephalyx. Lorsqu’un vielleur subit trop de dommage pour être rapidement réparé, ses créateurs se séparent de lui tel un scalpel ayant perdu son tranchant.
elric:
BROYEUR CEPHALYX
Le broyeur porte bien son nom. Une fois bien dirigée, la chose devient un bélier vivant, plus que capable d’abattre des murs et des warjacks. Considérés cette force exercée avec une implacable brutalité et sans pitié sur un simple corps humain, et vous comprendrez pourquoi presque tout le monde fuit devant elle.
– VP
Les cephalyx sont de maître de la transformation de ma chair, fabriquant des machines à tuer faites de chair et d’os pour mener leurs batailles. Lorsqu’une une application directe de la force brute est nécessaire, les cephalyx se tournent vers le broyeur, une monstruosité créée pour faire s’écrouler les fortifications et faucher les rangs de la résistance la plus redoutable qu’un ennemi puisse offrir. Fouettant ses deux membres en forme de fléau à grande vitesse, le broyeur se faufile à travers ses ennemis en masse et déchire les coques des warjacks lourds. Tout ce qui est à portée est aplati et déchiré par les cruelles armes qu’il agite. Des lames tourbillonnantes sont montées dans les têtes renforcées de ses fléaux, amplifiant les dégâts infligés à chaque coup. Le bruit aigu que produisent les lames lorsqu’elles transpercent une armure lourde suffit à faire fuir les soldats les plus faibles, et la vue d’un camarade écrasé et déchiqueté par un broyeur fait trembler même les plus courageux.
elric:
CROAKS
Pas aussi intraitables que les trogs des marais et les hommes-gator avec lesquels ils s’allient fréquemment, les croaks – ou anura, comme je préfère les appeler – sont de pratiques compagnons si l’on a besoin d’un guide pour se déplacer sur un terrain marécageux. Essayer simplement de ne pas lui serrer la main si vous avez des coupures ou des égratignures : les glandes venimeuses de sa peau provoqueront des nausées soudaines, un essoufflement et, dans de nombreux cas, la mort.
– Viktor Pendrake
Les croaks, appelés anura par certains, sont des bipèdes amphibiens vivant en petites communautés tribales dans de nombreuses terres sauvages marécageuses de l’Immoren occidental. Ils mesurent un mètre quarante de haut et ont des traits semblables à ceux d’une grenouille et une peau tachetée dont la couleur va du brun et vert terne au jaune et orange vif. Une large carrure et de larges coussinets au bout des doigts en font d’excellents grimpeurs. Bien que souvent sous-estimés par les civilisations plus avancées, les croaks sont intelligents, bien que primitifs. Ils sont équipés d’armes basiques et d’objets utilitaires. De glandes sur leur peau, les croaks adultes sécrètent une toxine et enduisent les lames de leurs armes de cette substance.
Outre leur aptitude naturelle à l’escalade et pour la natation, leur maîtrise des lances et des javelots fait des croaks d’excellents chasseurs. Ils excellent également en tant que guides et guerriers. Seuls quelques croaks, presque tous des jumeaux siamois, sont capables de magie. Ces anomalies sont vénérées au sein de la culture croak, mais elles n’accèdent que rarement à des postes de dirigeants, servant généralement de conseilleurs aux autorités tribales.
Les massifs corps des croaks masquent une surprenante agilité. Lors des combats, les croaks emploient leur environnement au maximum, qu’ils s’agissent de grimper très haut et de lancer des javelots de loin ou de se cacher sous l’eau et d’attaquer leurs ennemis avec de longues lances.
Originaires des jungles moites et chaude des Îles de l’Échine Brisée, les anura – ou « croaks », comme on les appelle communément – sont une race d’amphibiens primitifs. Sur leurs îles, ces créatures vivent en tribus organisées autours des chasseurs les plus puissants et les plus performants. Chaque tribu compte entre quinze et cinquante membres vivant en communauté dans des huttes faites de branches et de roseaux tissés dans les fourches basses des arbres géants poussant dans l’eau chaude et trouble de cette région.
Les croaks préfèrent agir durant la partie la plus chaude de la journée. Au sein des environnements froids, ils deviennent lents et irritables. Les mâles adultes sont capables de produire un cri incroyablement puissant pouvant être entendu sur une étonnante distance, et les croaks emploient ces signaux à la fois pour communiquer entre les tribus et pour signaler les frontières tribales.
Un croak moyen mesure trente centimètres de moins qu’un homme et à une massive et volumineuse carrure. Le teint d’un croak varie d’un brun verdâtre profond et boueux à un vert jaunâtre éclatant. Les jeunes croaks et les femelles ont tendance à avoir une teinte légèrement plus pâle, mais les mâles comme les femelles ont des taches sombres sur leur peau augmentant en nombre avec l’âge. La peau de chaque croak sécrète une puissante toxine qu’ils utilisent pour enduire les lames de leurs armes, mai cette huile naturelle n’est efficace que si elle est ingérée ou introduite directement dans la circulation sanguine.
Les croaks sont des grimpeurs naturellement talentueux, et les larges coussinets au bout de chacun de leurs doigts les aident à s’accrocher à n’importe quelle surface. Les doigts extérieurs de la main sont tous deux opposables, ce qui confère une force supplémentaire à leur prise. Grâce à ses doigts opposables et à ses coussinets, le croak peut maintenir sa prise dans les conditions les plus difficiles. Malgré leurs larges et maladroits doigts, les croaks manient leurs lances et autres outils avec une grande dextérité.
Une histoire populaire raconte l’histoire d’un scélérat fut un jour assassiné par un chasseur anura au moment où il s’attendait le moins. Comme il se doit, il était dans son bain à ce moment-là.
– VP
Certains croaks manifestent des talents magiques, mais ces cas sont à la fois extrêmes et inhabituels. La plupart des croaks possédant des capacités de sorcellerie sont le produit d’une naissance siamoise. L’un des jumeaux est invariablement chétif et difforme et vit tel un parasite sur le corps de son frère plus fort, ses membres antérieurs malformés et sa tête dépassant du torse de son jumeau plus grand. Ces jumeaux sont vénérés comme conseillers et sages par d’autres croaks mais ne sont jamais choisis pour diriger une tribu.
De nombreux croaks ont été réduits en esclavage par les skorne alors que cette dernière race se déplaçait vers l’ouest, dans les Marches Sanglantes. Les croaks ayant survécu au voyage sont utilisés comme tirailleurs et chasseurs auxiliaires dans les environnements marécageux et peu familiers de la bordure nord-ouest des marches. Certains de ces croaks ont échappé à leurs maîtres et ont établi des colonies au sein des marais et marécages septentrionaux. Quand ces petites communautés ne sont pas en compétition avec les trogs des marais et les hommes-gator revendiquant les mêmes territoires, on peut les retrouver combattant à leurs côtés.
Bien que je me souvienne pas de la partie introductive de la blague, je me souviens assez bien de la chute : « Alors, le sorcier croak l’a transformé en grenouille et l’a donné à manger à un homme-gator. » J’ai un faible niveau concernant l’humour, surtout en ce qui concerne l’anura.
– VP
elric:
ARAIGNÉE DE CRYPTECes grands arachnides sont plus une nuisance qu’autre chose, car elles ne se nourrissent pas des vivants, mais plutôt des morts. Imaginez : on passe des mois et des mois à éplucher d’antiques tomes à la recherche de la tombe du seigneur de guerre orgoth Kyarna pour finalement y arriver et trouver la tombe violée par cette foutue araignée ! Il y en a partout !
– Viktor Pendrake
Fléau des érudits et des pilleurs de tombes, les araignées de crypte sont des arachnides géants qui vivent dans de poussiéreuses tombes, des ruines et des mausolées bien remplies. Leur choix de repaires est fonction des besoins alimentaires de ces bizarres créatures. Les araignées de crypte mangent les morts – plus précisément, elles tirent leur seule subsistance de la moelle osseuse des cadavres.
L’un des plus grands arachnides de l’Immoren occidental, les araignées de cryptes sont à peu près aussi grandes qu’un homme et moitié aussi haute. Elles ont une apparence bouffie et corpulente et leur chair est partiellement translucide à la lumière vive, exposant les entrailles palpitantes en dessous. Comme tous les arachnides, les araignées de crypte ont huit pattes, chacune dotée d’une pointe dentelée permettant à celles-ci de facilement s’accrocher aux murs de pierre. Elles ont six yeux bulbeux, et peuvent voir dans l’obscurité totale, et leurs mandibules surdimensionnées leur permettent de briser les os des morts et d’atteindre la moelle nourricière qu’ils contiennent.
Bien que les araignées de crypte tissent des toiles, elles ne comptent pas sur leurs toiles pour capturer leurs proies. Elles recouvrent plutôt les murs et les plafonds de leurs repaires de toiles afin de les rendre plus faciles à escalades. Les araignées de crypte utilisent également leurs toiles pour bâtir d’élaborer nids servant d’abri pour elles et leurs petits. Une tombe infestée d’araignées de crypte abrite généralement une colonie de deux ou trois adultes et peut également contenir des centaines de jeunes araignées. Les cryptes les plus grandes peuvent servir de repaire à une dizaine d’adultes ou plus. Parfois, on retrouve même ces créatures nichant dans les cimetières et dévorant les cadavres des personnes récemment décédées.
L’acide d’araignée des cryptes peut-être utile pour combattre des réanimés, des nuées d’os ou d’autres morts-vivants squelettiques.
– VP[/righ
Navigation
[#] Page suivante
[*] Page précédente
Utiliser la version classique