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B&B - Classes et sous-classes

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elric:
GUERRIER

Toutes sortes de personnes, à l’intérieur et au-delà des Royaumes d’Acier font du métier de sldat leur vie. Au-delà des armées nationales des royaumes humains, nains et elfes, on trouve des combattants au sein de nombreuses compagnies mercenaires et des traditions martiales à travers le monde civilisé et les communautés des terres sauvages.

RYSSOVASS

Les ryssovass étaient autrefois les défenseurs de la patrie Nyss dans les Pics des Éclats. Ils étaient les vaillants gardiens des cols de montagne, veillant à ce que personnes ne menace les tribus monades. Lorsque les nyss ont été chassés de leurs terres, ils ont protégé leur peuple du mieux qu’ils ont pu à travers tous les campements des Royaumes d’Acier. Pendant un certain temps, les défenseurs ryssovass pensèrent avoir trouvé un but et un foyer dans les forêts d’Ios, mais cette terre leur fut également volée.

   Ces défenseurs sont revenus à leurs anciennes voies itinérantes. Avec les nyss vivant à nouveau comme réfugiés parmi les Royaumes d’Acier, les ryssovass ont débuté quelques choses qui aurait été autrefois impensable : enseigner leur pratique martiale aux non-nyss. Si le peuple nyss est aussi condamné que cela semble être le vas, ces guerriers verront la pratique de leur art leur survivre.

TROUPIER

Pour certain, le devoir est une vocation. Cet engagement envers le devoir et es lies formés avec les compagnons d’armes poussent et définissent ceux qui prêtent allégeance, que ce soit à une nation, un credo ou un contrat. Formés pour coordonner leurs efforts lors d’attaques ou de défenses, ces soldats sont redoutables de manière indépendante et dévastateurs lorsqu’ils combattent côte à côte.

elric:
PISTOLERO

Depuis l’avènement de la poudre explosive et les premières armes à feu employées pour repousser les orgoth, les habitant de l’Immoren occidental se sont entraînés au maniement des armes à feu. Qu’il s’agisse de récupérer des armes à feu sur d’anciens champs de bataille comme le font les farrow ou de créer des modèles uniques d’armes comme le peuple d’Ios, il n’y a pas une civilisation majeure qui n’utilise pas ces armes.

TIREUR EMBUSQUÉ FANTÔME

Les tireurs embusqués fantômes sont bien plus que des tireurs d’élites traditionnels : ce sont chasseurs spécialisés et secrets se consacrant totalement à leur mortel art. S’appuyant sur la discrétion et le subterfuge, ces tireurs embusqués cherchent des endroits dissimulés à partir desquels lancer une attaque et utilisent des techniques étranges pour s’éclipser après avoir abattu une cible. Il est extrêmement difficile à cerner au combat,, et ils sont rarement vus par les personnes ayant été témoin de la marque qu’ils laissent sur le monde.

elric:
MÉKANICIEN

Lorsque les technologies des royaumes humains se sont propagées à l’est, en Rhul et Ios, elles ont été modifiées et adaptées à ces cultures. De nouvelles approches ont donné naissance à des traditions uniques aux nains et aux ogrun de Rhul et au peuple d’Ios. Les approches de chaque groupe en matière d’ingénierie mékanique, d’artisanat et de réparation sont une extension du caractère du peuple.

MÉKANICIEN ARCANISTE

Même le myrmidon le plus magistralement conçu nécessite des réparation et un soutien, en particulier après les rigueurs de la bataille. Les arcanistes sont des mékaniciens chevronnés ayant une connaissance approfondie de l’arcanike, ce qui leur permet de rassembler les pièces cassées et brisées pour remettre en état de marche même un myrmidon en grande partie en ruine. Leur expertise leur permet également d’apporter une subtile puissance arcanique pour pousser ces machines au-delà de leurs limites opérationnelles normales.

MÉKANICIEN RHULIQUE

Les mékaniciens rhuliques sont des individus pragmatiques comptant beaucoup sur la puissance de leurs laborjacks uniques. Que ce soit dans une mine infestée de fatum ou au sein d’une compagnie de mercenaires, les mékaniciens de Rhul apprennent à tirer le maximum d’efficacité de leurs machines.

   Traditionnellement, seuls les rhulfolk et les ogrun de Rhul oeuvrent comme mékaniciens de Rhul, mais depuis l’avènement des territoires francs au sein du royaume nain, des personnes de tous horizons ont appris à interagir avec ces steamjacks spéciaux.

elric:
MOINE

Les Royaumes d’Acier n’ont pas ce que beaucoup considèrent traditionnellement comme des traditions monastiques. S’il est vrai que certaines ont émergé, comme l’Ordre du Poing du Protectorat de Menoth ou l’Ordre du Reliquaire au sein de l’Église de Morrow, ces ordres monastiques sont rares. En particulier au-delà des frontières des royaumes humains, un tel mode de vie n’est pas courant.

   Cependant, il en existe encore quelques-uns dont la philosophie et le mode de vie s’alignent sur le concept traditionnel des moines.

VOIE DE LA GUÉRISON LYS

Lorsqu’un iosien ou un nyss ressent le besoin de soigner les autres, la voie de la guérison Lys s’ouvre à lui. Ils apprennent à concentrer leur ki d’une manière qui leur permet d’accomplir des exploits de guérisons comparables ou même plus puissants que la plupart des ordres monastiques.

VOIE DU MAGE DE COMBAT

Un nyss ou un nyss ayant adopté la formation martiale de son ordre peut s’entraîner et devenir un mage de combat sont maîtres de leurs gantelets de puissance, qui peuvent amplifier et canaliser leur ki pour provoquer des effets dévastateurs.

VOIE DE L’ARME À FEU

Si les pistoliers et les duellistes sont monnaie courante dans les Royaumes d’Acier, il en est certains dont le lien avec une arme à feu est plus profond. Ces individus sont comparables aux mages balisticiens, bien qu’au lieu de plier leur volonté pour donner du pouvoir aux balles gravées de runes, leur art est celui d’un calme profond et d’une quiétude mentale. Dans cet état, ceux qui suivent la voie le l’arme à feu comme une extension d’eux-mêmes plutôt que comme un instrument de mort grossier.

elric:
PALADIN

Les habitants d’Ios et de Rhul se définissent par leurs relations avec leurs dieux. Il n’est donc pas surprenant qu’ils aient leurs propres ordres de paladins dont les serments sont aussi profonds et inflexibles que ceux de l’humanité. La nature de ces serments est cependant très différente. Les nains voient le rôle du paladin en tant que défenseur des lois édictées par les Pères Originels. La nature des paladins iosiens est encore plus étrange, car ils ont eu l’honneur et le devoir de protéger les corps des deniers membres de la Cour Divine.

SERMENTS DES ÉDITS

Les paladins qui prêtent le serment des édits sont les garants de l’application des lois anciennes, codes et protocoles décrétés par leur divinité. Ces guerriers divins ne s’embarrassent ni de l’interprétation de la loi ni de sa disposition éthique ou morale. Qu’un code soit « bon » ou « mauvais » ou « juste » ou « faux » n’a que peu d’importance pour eux, car ils se concentrent uniquement sur l’application de la loi ancienne. Les lois modernes changent avec les nouveaux rois, les nouvelles reines ou les nouvelles nations ; en tant que tels, ces paladins ne les tiennent pas en aussi haute estime. Pour eux, les lois anciennes sont immuables et constituent un lien sacré avec leur divinité devant être préservé à tout prix.

   Le plus grand groupe de paladins ayant prêté ce serment est constitué par les Juges du Conclave de Rhul. Les lois originelles de la société naine, connue sous le nom d’Édits, ont été établies par les Pères Originels, les antiques ancêtres devenus des demi-dieux du peuple nain. Ces Édits sont interprétés par des lois ayant été rassemblées dans une massive série de documents connus sous le nom de Codex. Le Conclave Rhulique passe une grande partie de son temps en discussion et en négociation, créant des lois pour interpréter les divers Édits en jugements plus détaillés et situationnels. Ces lois sont révisées et amendées avec le temps, mais en cas de conflit, l’Édit originel a toujours la priorité. Ce sont ces édits originels que les Juges du Conclave préservent et font respecter à tout prix.

SERMENT DU GARDIEN

Certaines choses sont trop pures, trop précieuses, trop importantes ou trop dangereuses pour être laissées sans surveillance. Un paladin prêtant le Serment du Gardien jure de défendre sa charge jusqu’à la toute fin. Pleinement conscient du prix à payer s’ils manquent à leur devoir, ces gardiens de l’ordre sont souvent chargés de la défense des lieux les plus sacrés, mais on peut aussi le retrouver en train de sauvegarder une âme particulière ou un objet d’importance significative.

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